Nicolae Mihu, exercices de bien être

Depuis trente ans, j’explore inlassablement les multiples facettes de la médecine : ce qu’elle est, ce qu’elle pourrait être.

Je l’ai d’abord abordée sous sa forme moderne, celle que l’on enseigne dans les universités. Puis, ma quête m’a conduit vers d’autres horizons : la médecine chinoise, l’ayurvéda, l’homéopathie, la phytothérapie contemporaine… Autant d’approches qui enrichissent notre compréhension du soin.

Les médecines ancestrales, complexes et immuables à travers les siècles, offrent une vision intégrale de l’être humain. Sans cette perspective holistique, il est impossible de véritablement comprendre et traiter les déséquilibres du corps et de l’esprit.

Au fil de mes recherches, j’ai découvert une évidence : partout dans le monde, les traditions spirituelles ont toujours été intimement liées à la médecine. Ce n’est que très récemment – à l’échelle de l’histoire, dans ses toutes dernières secondes – que ces deux piliers ont été séparés.

Je vous invite à un voyage à travers le temps et l’espace, à la découverte de la manière dont l’essence profonde de l’être humain influence ce qui, en lui, est périssable.

La médecine moderne repose sur un paradigme matérialiste, où seul le corps physique est pris en compte. Mais que se passe-t-il si l’on adopte une autre vision du monde ? Si l’on accepte l’existence de réalités immatérielles – Dieu, l’âme, les énergies subtiles – quelles en sont les implications concrètes pour la pratique médicale ?

Ce questionnement ouvre la porte à une exploration fascinante des liens entre science, spiritualité et santé. Et si la guérison ne se limitait pas au corps, mais touchait aussi l’essence profonde de l’être humain ?